Ce dictionnaire répertorie 982 compositeurs internationnaux qui ont écrit - épisodiquement ou régulièrement - des musiques originales pour l'écran. Biographie détaillée, filmographie, références bibliographiques et discographiques et parfois sites internet de référence.
Catalogue de l'exposition "100 ans, 100 films" réalisée dans le cadre du centenaire du cinéma par le Conseil Général de l'Oise, et présentant une collection d'affiches de films tournés dans l'Oise.
"Quel est le premier métrage fantastique tourné ? Quelle est précisément la signification des termes "slasher", "giallo", "survival"? Combien de films ont réalisé Roy Ward Baker, Inoshirô Honda, Terence Fisher, les frères Strougatski ? En science-fiction comme en fantastique, quelle est la part des scénarios originaux par rapport aux oeuvres littéraires adaptées ? Quel est le premier film tourné par Christopher Lee ? Quels courts métrages sont représentatifs des cinémas de genre ? Dans quelle production est apparu le premier [...] zombie ? Qui sont les affichistes du fantastique, de la science-fiction, de la fantasy ? Comment les effets spéciaux ont-ils évolué ? Non, il ne s'agit pas d'un quiz, seulement d'une infime partie des questions traitées dans cette encyclopédie. Soit plus de mille pages richement illustrées (près de 2 300 images), multipliant les filmographies précises et actualisées, les analyses de films, les portraits d'artistes (cinéastes, maquilleurs, interprètes, scénaristes, décorateurs...), développant des entrées thématiques fouillées (la politique-fiction, le mythe de l'Atlantide, l'apocalypse nucléaire, le gore, etc.), accordant une place de choix aux figures emblématiques : les super-héros, James Bond, Tarzan, la créature de Frankenstein, Godzilla, Dracula et autres vampires, les Amazones, les savants fous, King Kong et autres singes... De Georges Méliès à James Cameron, de 'Nosferatu'à 'World War Z', ce sont plus de 17 000 films qui sont mentionnés" [Source : 4e de couv.].
Près de cinq mille entrées répertorient les films de genre (plus de dix-sept mille titres évoqués), les thèmes, figures, motifs et grands noms attachés à l'imaginaire projeté à l'écran sous ses formes les plus diverses.
"Introduction en guise de mode d'emploi" par Jean-Pierre Andrevon.
Contient : 2400 images en noir et blanc et en couleur.
Les représentations a posteriori - romans, nouvelles, films, oeuvres théâtrales, peintures, oeuvres plastiques, bandes dessinées - de la Première Guerre mondiale sont nourries d'imaginaires singuliers et intimes, que l'histoire n'a pas nécessairement voulu ou su interpréter pour ne pas faillir aux orientations d'une thèse, sinon dominante, du moins majoritairement partagée au moins jusqu'aux années soixante, celle du consentement patriotique des combattants.
Cette querelle, confrontée à celle de la "brutalisation" avère, de [...] surcroît, la nécessaire opposition de classe au sein même de la nation française qui a présidé à l'initiation de ce conflit avec ce nouvel ennemi héréditaire venu remplacer l'Angleterre : l'Allemagne de Bismarck. En effet, sur la scène nationale, tandis que se jouait une guerre des paradoxes, entre le colonialiste pacifique Jaurès et l'anticolonialiste guerrier Clemenceau, le peuple des ouvriers, employés, paysans se préparait, au parterre, à faire front pour protéger la bourgeoisie et l'aristocratie des villes, non pas tant des Allemands, que de la tentation révolutionnaire perpétuelle de tous ces anciens communards qui les avaient tourmentés durant tout le XIXe siècle.
Les célébrations du Centenaire terminées, il est grand temps d'examiner ce que disent aujourd'hui de la guerre ces propositions, comme autant de métamorphoses poétiques de la mémoire souvent délaissées au lendemain des grands événements de l'Histoire, au profit des archives officielles et de la parole autorisée, puis des contenus explicites des témoignages individuels. Non pas seulement à travers les sujets qu'elles abordent, aux contenus qu'elles dévoilent, mais à l'anatomie, à l'histologie, pour ainsi dire, de la parole qui les énonce, ses bruissements, ses frémissements et tout ce qu'elle nous murmure au creux de l'oreille, et qu'il nous faut comprendre à l'aune de nos convictions, des résonances de nos histoires individuelles, familiales, collectives, de notre culture, de nos convictions et croyances, de nos engagements idéologiques, sans craindre aucunement d'aller au rebours d'un certain mode officiel de fabriquer l'Histoire.
Cet ouvrage restitue les programmes d’une semaine « ordinaire » de programmes sur les deux chaînes de l’ORTF entre le 23 et le 30 septembre 1967. L’étude, menée par une équipe interdisciplinaire de chercheurs, en collaboration avec l’Institut national de l’audiovisuel, s’appuie sur des archives audiovisuelles de la télévision conservées par l’Inathèque et consultables sur le site Ina.fr, mais aussi sur la documentation écrite qui s’y rapporte (magazines de programmes, courriers de téléspectateurs, conseils et [...] comités de programmes). Elle analyse les programmes télévisés, les conditions de leur production et celles de leur réception.
On a souvent dit, à juste titre, que l'histoire du cinéma de science-fiction se divise en deux parties : l'avant et l'après 2001 : L'Odyssée de l'espace. Aujourd'hui, l'année 2001 est un futur désormais passé depuis longtemps et l'histoire ne s'en souviendra pas pour une entreprise spatiale, mais pour une attaque aérienne dans le ciel de New York. Même 1968, année de "révolution" sur la planète Terre, a à présent cinquante ans et presque aucune de ses utopies ne s'est réalisée.
Mais l'Homme attend encore et attendra toujours, [...] un pas de valse au milieu des étoiles, un message des espaces infinis, un univers meilleur, un foetus cosmique dans lequel renaître ; et 2001 : L'Odyssée de l'espace reste le chef-d'oeuvre de Kubrick et le meilleur film de science-fiction jamais réalisé, infiniment plus riche, infiniment plus mystérieux et infiniment plus moderne que les films de science-fiction modernes.