Atelier, le laboratoire de l'art (L') (1) / Dessin, la ligne d'où tout surgit (Le) (2) / Pigments, les couleurs de la terre, de Lascaux à Picasso (3). : Images de la culture
Comment obtenir un croquis juste, tout en dessinant avec liberté et aisance ? C'est par l'acquisition des principes élémentaires de perspective ! Ce cours complet, très progressif, met à la portée de tous les différentes notions relatives à la représentation dans l'espace, des plus simples aux plus complexes. Objets du quotidien, architectures, paysages... Grâce à cet ouvrage, vous pourrez dessiner à main levée un intérieur meublé, une charmante place vue en plongée, une rue tournante et l'ombre de ses platanes... Un livre à [...] lire le carnet de croquis à la main ! Gilles Ronin est architecte et fondateur de l'atelier du Pélican où il enseigne le dessin d'architecture à la main. Avec cet ouvrage, il met ses talents de pédagogue au service des amateurs.
En 1988, devant la caméra de Benoît Jacquot, le peintre Robert Motherwell, alors âgé de 73 ans, se livre à un discours sur l'art dans l'atmosphère sereine de son atelier de Greenwich. Il décrit les principes de l'automatisme psychique et commente les différentes périodes de son oeuvre à laquelle des dizaines de rétrospectives, dont une à Paris en 1977, ont été consacrées dans le monde entier.
Véritable porte-parole de "l'Ecole de New York", Robert Motherwell (1915-1991) expose ses théories sur les oeuvres d'art : quand [...] commencent-elles, quand s'achèvent-elles? S'il pose le "non" à priori comme valeur essentielle de la peinture, prônant une spontanéité qui laisse l'inconscient s'exprimer librement, il ne délaisse pas pour autant l'importance de chaque détail : choix des pinceaux, supports, volumes...Quelle que soit la technique employée (peinture, collage, dessin), il aime travailler par grandes séries, déclinant à l'envi un thème ou une idée. C'est souvent au coeur de la nuit, loin des rumeurs de la vie, qu'il se met à la peinture, privilégiant les teintes chaudes et les noirs profonds qui "changent la qualité émotionnelle d'une oeuvre, la rendant plus grave.
(1) Espace de travail avec tous ses accessoires, groupe de gens qui créent ensemble ou lieu d'enseignement, d'habitation et de réception, l'atelier informe sur les techniques, sur la transmission d'un art et sur le statut du peintre. Un montage précis de miniatures anciennes, de tableaux ou encore de photographies montre ici l'évolution du cadre d'une pratique et redonne vie à de nombreux artistes, sans oublier les femmes.
(2) Le dessin, "base de tous les arts" selon les préceptes antiques, a eu dès ses origines le double destin d'être [...] un élément constitutif de la peinture ou une fin en soi. Dans les deux cas, les artistes ont tiré parti d'un choix d'outils et de supports qui a favorisé une expression variée, répondant aux différents types de dessins et à des conceptions de la ligne souvent radicalement opposées.
(3) Des grottes préhistoriques à la Provence de Cézanne, de tout temps et en tout lieu, les hommes ont su glaner dans la nature les matières colorantes qui allaient leur permettre de représenter le monde, de dire sa beauté ou de dénoncer ses drames.
Un voyou de la pire espèce, amateur de cartes, croise la route d'une vieille dame distraite qui, sans le faire exprès, lui règle son compte. Une histoire sans parole, parsemée d'onomatopées.
L'esprit ludique de Caran d'Ache (Emmanuel Poiré, né le 6 novembre 1858 à Moscou, mort le 26 février 1909 à Paris), mais aussi une conscience exacerbée du dérisoire sont confirmés dans le choix d'un pseudonyme qui est une transcription fantaisiste du mot russe "Karandach" qui signifie crayon. Un choix, qui, lorsque l'on décide de se consacrer au dessin, est déjà un puissant geste d'ironie.
Avec un minimum de moyens, Caran d'Ache sait traduire un maximum de mouvement. Sous la raideur hiératique des lignes droites, ses personnages, [...] au premier abord, figés, sont fabuleusement mobiles. Avec un trait dur et net, dépouillé de tout artifice, il sait exprimer les mille et un sentiments qui animent les êtres vivants. Un demi-siècle après, toute l'école belge de la Bande dessinée reprendra son procédé en employant l'extérieur, c'est-à-dire le contour du dessin.
Cet élégant du Tout-Paris a une fécondité de travail extraordinaire, une production constante. Son oeuvre est prolifique, depuis "Les Armées étrangères" de la "Caricature", les "Histoires sans Parole" de la "Vie Militaire", les pages illustrées de "La Vie Moderne", du "Paris Illustré", jusqu'aux albums publiés chez Plon, réunissant les dessins parus dans "le Figaro" et dans "le Journal", sans compter les ouvrages illustrés tels "L'Histoire de Malborough" de Marthold, "La Comédie du Jour" de Millaud ou bien encore "A la Découverte de la Russie" de Bénar.
Dès 1903, il commence à abandonner le dessin pour se consacrer à la fabrication de jouets. Silhouettes découpées dans du bois, ce choix peut , à première vue sembler désuet. Il apparaît pourtant comme la continuité logique d'un travail unique. En effet, depuis ses débuts de dessinateur, que ce soit dans ses caricatures ou dans ses ombres, il s'est consacré au contour. Ces jouets remarquables, qui évoquent une certaine production contemporaine, sont immédiatement perçus par le public comme des oeuvres d'art.
Le dessinateur de A la recherche de Féerie dévoile ses crayonnés sur l'univers l'heroic-fantasy. Il dévoile certains de ses travaux et les recherches qu'il mène pour ses projets.
Le dessinateur de A la recherche de Féerie dévoile ses crayonnés sur l'univers l'heroic-fantasy. Il dévoile certains de ses travaux et les recherches qu'il mène pour ses projets.