Dès son plus jeune âge, l'enfant expérimente une série de petits deuils qui lui apprennent à perdre : entrée à l'école, déménagement, deuils des jours heureux de la petite enfance, disparition d'un être proche. L'existence apparaît comme une suite de séparations. Comment s'y préparer et accompagner les enfants dans ces deuils nécessaires ?
Une étude sur le deuil ayant fait l'objet de trois chapitres dans Le génie des origines : psychanalyse et psychose. Le psychanalyste lève le voile sur le deuil originaire, un deuil premier qui aura été mis en attente et qui, s'il n'est pas fait, peut entraîner différents comportements et souffrances comme les fantômes familiaux, les enfants de remplacement, la dépression, le suicide, etc.
Analyse de la solitude dans le contexte sociétal où la connexion permanente repousse les limites de l'isolement. Ce qui amène les huit thérapeutes à soulever la question de l'étroitesse du lien entre l'incapacité d'être seul et la nécessité de soutien psychologique.
Un chaton se présente à la fenêtre de Nour. La fillette l'accueille et prend soin de lui tous les jours. Mais un soir, il ne revient pas. Nour se remplit de tristesse.
A l'aide d'exemples, le Dr Christophe Fauré, psychiatre, s'attache à expliquer le processus de cicatrisation légitime et nécessaire qu'il faut assumer après un décès, avec ses différentes phases et les sentiments envahissants (colère, culpabilité, dépression, peur) qu'il provoque.
Ce guide apporte aux parents, aux grands-parents, aux éducateurs et aux enseignants des réponses concrètes aux questions que peut se poser toute personne amenée à aider un enfant en deuil.
Guide pratique qui donne sous forme de questions-réponses, des conseils pour mieux vivre un deuil au fil des jours, des semaines et des mois qui suivent la disparition d'un être cher. A la fin de chaque question traitée, une idée fausse est analysée. Un chapitre est consacré aux enfants et à l'entourage.
Aujourd'hui en France, une personne se suicide toutes les 40 minutes. Mais la mort par suicide détruit bien au-delà de la personne disparue. Ce sont tous les proches : conjoints, parents, enfants, amis, qui sont plongés dans un deuil particulier, extrêmement difficile à vivre, sur lequel pèse encore trop souvent le silence.