Des illustrations classiques et sages sur la cruauté des enfants. ©Electre 2015

Arthur et son père vivent dans une clairière au sein d'une forêt très dense où se trouveraient des loups, des ogres et des blaireaux géants. Nul ne s'y aventure jamais. Désireux de savoir ce qui se situe au-delà de l'orée, ils échafaudent une immense tour avec le concours des autres villageois.

Rythmées, drôles, caustiques, émouvantes, les célèbres "Comptines de la mère l'Oie" sont un formidable réservoir à images où chaque lecteur pourra trouver matière à rêver, sourire et s'émerveiller. Cet imaginaire, qui a tant imprégné la culture populaire, est ici magnifiquement incarné par Gérard DuBois et ses troublantes illustrations emplies elles aussi de non-sense, d'humour aigre-doux, de tendresse et de charme... Un délice à déguster seul ou à plusieurs, à savourer, offrir et réciter.

Après avoir promis d'être sages, le fils Martin et son ami Jean-François décident de jouer aux guerriers solitaires et transforment la maison en champ de bataille.

Ce livre évoque les peurs des enfants devant des événements de la vie courante comme manger les pépins d'une pomme et croire qu'un arbre va pousser dans le ventre.

D'Arlequin à Don Juan, de l'Arlésienne à Ubu, un catalogue illustré des personnages de théâtre dont le nom est passé dans le langage commun.

Le petit poney galopait, et sa crinière flottait comme un étendard. Justine, très pâle, les yeux clos, se cramponnait de toutes ses forces. Mais elle ne tomba pas comme elle l'avait craint si fort...

L'amour maternel de Vana, la revenante, la malice de Melina la maligne, qui parvient à séduire le roi, la tristesse infinie de la jeune mère emmurée, ou l'odyssée d'Orphée Dilo, personnage tout droit sorti de la mythologie... : autant d'histoires tantôt sombres, tantôt réjouissantes et pleines d'humour qui viennent des Balkans. Le CD offre un véritable voyage sonore aux fortes influences tsiganes.

La vie romancée du naturaliste Charles Darwin.

« J’aimerais voler comme une feuille au vent. J’aimerais avoir un gros chien et un tout petit chat. J’aimerais pouvoir arrêter la guerre. » À l’heure du coucher, un petit garçon joue à son jeu préféré : « J’aimerais ». Voilà une jolie manière de terminer la journée et de s'évader dans son monde imaginaire !