Variation sur la chanson traditionnelle. Pendant que le meunier et son chat sommeillent, la farine qui s'envole par les rues du village est récupérée par les habitants. Tous s'activent pour faire des gâteaux et quand, épuisés, ils s'endorment, le meunier se réveille.
Je suis tout joyeux, je suis tout rêveur, je suis tout colère. Je suis tout cela à la fois. Je suis multiple mais je suis et je reste moi. Dans la lignée du Tout petit, prix Pitchou 2015, Anne Letuffe récidive en proposant un nouvel imagier. Il s'agit cette fois de découvrir les émotions et les sensations. Par un habile jeu de découpes, photos et dessins dialoguent et invitent le lecteur à construire ses propres histoires. Je suis TOUT, un imagier pour s'approprier le monde à travers ses cinq sens.
Une petite fille visite le musée du Louvre en compagnie d'un loup qui l'a suivie. C'est l'occasion de découvrir des peintures et les sculptures exposées dans les salles du musée. Les illustrations sont pour moitié sous forme de photos et les dessins s'insèrent dans l'image pour former l'histoire.
Dans cet imagier sans texte, un élément du paysage photographié est découpé et associé à un élément du corps, apportant ainsi à l'enfant une prise de conscience de soi dans le monde qui l'entoure, en jouant sur les sensations et les émotions.
Ce recueil de comptines et de poèmes est également un outil pédagogique avec des activités d'éveil à la lecture par le biais du mime, de la musique, du jeu scénique.
Joséphine, la mamie d'Antoine, fait des choses étranges : elle perd régulièrement des objets, verse des verres de lessive à la place du sirop, arrose les bibelots de la cheminée. Les parents d'Antoine veulent l'envoyer à l'hôpital mais il garçon décide de s'enfuir avec elle.
Arthur et Ursule se retrouvent en forêt, face à une masure. Ils pensent que c'est le repère d'une sorcière mais découvrent qu'il s'agit de la maison d'Uranie, qui les invite chez elle pour faire de la confiture.
Un poème en forme de comptine. Une illustration qui joue sur les matières et les fruits de la nature. L'illustratrice marie deux techniques, la photographie et le collage, pour évoquer les deux niveaux de lecture du poème, qui, derrière sa simplicité, cache un message fort.