Un ensemble de textes qui montre les facettes de cet homme aux talents multiples, mort en 1989 : l' écrivain s'interrogeant sur le besoin incoercible de voyager, le conteur, le critique littéraire et l'essayiste.
"Dès la fin des années 1960, dans des périodiques aussi variés que le "Sunday Times Magazine", "Vogue" ou la "New York Review of Books", Chatwin s'essayait à l'écriture selon les modalités les plus diverses : reportages, critique littéraire, récits semi-ficitifs, méditations personnelles... Ce recueil publié en 1996, [...] sept ans après sa mort, propose une sélection de ces textes "fortuits". On y retrouve tous les grands thèmes de l'écrivain : les racines et le déracinement, l'exotisme et l'exil, la possession et la renonciation, la métaphysique du nomadisme. En ce sens, ils forment une voie d'accès à l'oeuvre, le prélude ou le complément indispensable à la lecture du "Chant des pistes" ou d'"Utz" (4e de couv.)."
Table :
. Avant-propos.
. Première partie : "Horreur du domicile".
J'ai toujours voulu aller en Patagonie. Un endroit pour accrocher son chapeau. Une tour en Toscane. Parti à Tombouctou.
. Deuxième partie : Histoires.
Le lait. Les attraits de la France. Le domaine de Maximilien Tod. Bédouins.
. Troisième partie : "L'alternative nomade".
Lettre à Tom Maschler. L'alternative nomade. C'est un monde nomade nomade.
. Quatrième partie : Critiques.
Abel le nomade. Les anarchistes de Patagonie. La route des îles. Variations sur une idée fixe.
. Cinquième partie : L'art et le briseur d'images.
Parmi les ruines. De la morale des choses.
Une invitation à suivre les 4.800 kilomètres de ce fleuve tumultueux, du Tibet au Viêt Nam, en passant par la Chine, le Laos, la Birmanie, la Thaïlande et le Cambodge.
David Dumortier s'adonne à une rêverie poétique ayant pour objet Amman, ville de Jordanie.Ville de passage, avec ses montagnes éreintantes; ce livre nous propose de nous y arrêter, pour prendre son rythme, son odeur, et peut-être entendre son écho entre ses pentes.
L'écrivain voyageur, habitué des pays chauds, embarque sur un voilier pour le Groenland. Ce récit burlesque, faussement candide, dresse le panorama original d'un monde en pleine mutation, en proie au questionnement identitaire, et où les paysages grandioses sont menacés par le changement climatique.
Portraits de voyageurs partis au bout du monde pour courir après les rêves nés de leurs lectures d'enfance, devenus écrivains : Stevenson, Conrad, Segalen, Bouvier... Et d'écrivains qui prirent la route pour nourrir les livres qu'ils ambitionnaient et se firent voyageurs : Kipling, London, Kessel ou Catwin...
Braver les rues dangereuses de Rio, cheminer dans les venelles de villages patinés par l’oubli, vibrer à l’unisson des instants religieux à Belém ou festifs à Olinda, s’enivrer de la nonchalance de Bahia : voilà un programme alléchant que ne renierait aucune agence touristique.
Mais pour l’auteur soucieux de dépasser les clichés promus par la société du Commerce, le voyage et son récit sont d’abord une affaire de style, un parti pris littéraire affirmé dans le texte comme dans ses photographies argentiques de [...] l’instant. Le pays se dépare alors de ses truculences carnavalesques pour trouver des accents de vérité.
Ce journal, qui couvre vingt-cinq ans de la vie d'Elisabeth Horem (de 1992 à 2016), se divise en huit parties portant les noms des villes où elle a vécu, au gré des différents postes de son mari diplomate.
La première partie, assez brève, est intitulée « Berne (1992-1996) » et renferme essentiellement des réflexions sur ses débuts d'écrivain. À partir de « Prague (1996-2000) », mais surtout de « Paris (2000-2003) », ses notes cessent d'être circonscrites au domaine littéraire. Parallèlement à des réflexions sur [...] l'écriture, elles font une place toujours croissante aux contingences de la vie quotidienne, à des récits de voyages, à l'évocation de rencontres, à l'actualité, à des mouvements d'humeur, à des impressions de promenades ou au temps qu'il fait, mais aussi à des épisodes plus personnels.
Dans « Bagdad (2003-2006) », le lecteur retrouvera la matière de Shrapnels ainsi que l'essentiel du texte paru sous le titre : Un jardin à Bagdad, augmenté d'autres notes écrites à Bagdad et au cours des voyages faits à cette période (entre autres au Yémen, en Syrie et en Turquie).
« Tripoli (2006-2007) » présente un tableau de la Libye de Kadhafi, avec des scènes parfois cocasses de la vie des diplomates accrédités auprès de ce leader fantasque et des impressions de voyages dans un pays alors paisible.
La Syrie lui est chère, où elle avait été étudiante à la fin des années soixante-dix. De nombreuses pages de « Damas (2007-2011) » sont consacrées à des voyages en dehors du pays (en Éthiopie, par exemple) mais aussi dans différentes régions de la Syrie, maintenant ravagées par la guerre. On y assiste au début de la révolution, à la montée de la violence et au désarroi des Syriens et de la communauté étrangère.
Son séjour au Qatar est relaté dans « Doha (2012-2015) ». L'auteur y livre ses impressions du pays et de la région, avec des récits de voyages en Arabie saoudite, à Oman, en Iran. On y suit également l'écriture de son dernier roman, La Mer des Ténèbres.
Enfin, la dernière partie : « Rabat (2015-2016) », outre des impressions de la ville même, offre surtout le récit d'un long voyage fait à travers le Maroc avant de s'installer en Bretagne où elle vit maintenant avec son mari, ce qu'elle évoque dans l'épilogue de ce journal : « Le retour (avril-décembre 2016) ».
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Ce journal, qui couvre vingt-cinq ans de la vie d'Elisabeth Horem (de 1992 à 2016), se divise en huit parties portant les noms des villes où elle a vécu, au gré des différents postes de son mari diplomate.
La première partie, assez brève, est intitulée « Berne (1992-1996) » et renferme essentiellement des réflexions sur ses débuts d'écrivain. À partir de « Prague (1996-2000) », mais surtout de « Paris (2000-2003) », ses notes cessent d'être circonscrites au domaine littéraire. Parallèlement à des réflexions sur [...] l'écriture, elles font une place toujours croissante aux contingences de la vie quotidienne, à des récits de voyages, à l'évocation de rencontres, à l'actualité, à des mouvements d'humeur, à des impressions de promenades ou au temps qu'il fait, mais aussi à des épisodes plus personnels.
Dans « Bagdad (2003-2006) », le lecteur retrouvera la matière de Shrapnels ainsi que l'essentiel du texte paru sous le titre : Un jardin à Bagdad, augmenté d'autres notes écrites à Bagdad et au cours des voyages faits à cette période (entre autres au Yémen, en Syrie et en Turquie).
« Tripoli (2006-2007) » présente un tableau de la Libye de Kadhafi, avec des scènes parfois cocasses de la vie des diplomates accrédités auprès de ce leader fantasque et des impressions de voyages dans un pays alors paisible.
La Syrie lui est chère, où elle avait été étudiante à la fin des années soixante-dix. De nombreuses pages de « Damas (2007-2011) » sont consacrées à des voyages en dehors du pays (en Éthiopie, par exemple) mais aussi dans différentes régions de la Syrie, maintenant ravagées par la guerre. On y assiste au début de la révolution, à la montée de la violence et au désarroi des Syriens et de la communauté étrangère.
Son séjour au Qatar est relaté dans « Doha (2012-2015) ». L'auteur y livre ses impressions du pays et de la région, avec des récits de voyages en Arabie saoudite, à Oman, en Iran. On y suit également l'écriture de son dernier roman, La Mer des Ténèbres.
Enfin, la dernière partie : « Rabat (2015-2016) », outre des impressions de la ville même, offre surtout le récit d'un long voyage fait à travers le Maroc avant de s'installer en Bretagne où elle vit maintenant avec son mari, ce qu'elle évoque dans l'épilogue de ce journal : « Le retour (avril-décembre 2016) ».