Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Vichy et de ses environs (Fascicule auto-généré - 1965) : Fascicule auto-généré pour les notices analytiques - Année 1965
Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Vichy et de ses environs (Fascicule auto-généré - 1965) : Fascicule auto-généré pour les notices analytiques - Année 1965
Mémoires d'Isaac Dumont de Bostaquet, gentilhomme normand, sur les temps qui ont précédé et suivi la Révocation de l'Édit de Nantes, sur le refuge et les expéditions de Guillaume III en Angleterre et en Irlande
Dans l'obligation d'assumer le coût princier du mariage de son fils avec la fille du cadre supérieur d'une banque, le narrateur désargenté imagine différents stratagèmes pour réunir la somme.
Ce document fait le point sur la diversité des écoles de psychologie, des origines jusqu'aux nouvelles thérapies. Il constitue un outil de travail avec des synthèses à consulter.
Le médecin m'avait dit : « Vous avez un cancer, avec une grande simplicité ».Pourquoi, d'ailleurs, eût-il fallu qu'il le dise autrement ? Le jeune interne, mesemble-t-il, avait rougi, baissant les yeux - il apprendrait plus tard qu'il nefaut pas avoir peur de dire la vérité aux malades. J'avais entendu le verdictavec une certaine sérénité. Moins quand, regardant de près les résultats demes examens, il avait grimacé : « C'est pas super ».La simple surveillance était exclue. Il fallait agir.Le 5 octobre 2015, l'auteur de ce livre [...] apprend qu'il a un cancer.Il décrit une année avec la maladie : ce qu'elle change en lui, ce qu'elleimpose et ce qu'il lui oppose, le regard que les autres portent sur le mal et lemalade, cette vie différente, gouvernée par l'incertitude, entre le grand hôpitalet les séances de radiothérapie et le travail jamais arrêté, entre le soin mis àsurvivre et la vie ordinaire.Ce n'est pas un journal, pas un manuel, pas un témoignage mais le récit le plusjuste d'un homme face à une épreuve : il y a beaucoup de poésie dans cespages, de la dérision, de questions et des tentatives de réponses qui ne sont pasdes leçons mais une expérience, un combat : ne pas dire je suis malade maisj'ai un cancer, tout entendre, choisir un traitement, en parler, se soigner. Etpuis il y a toutes ces questions sans réponse : pourquoi moi, serai-je là dans unan, comment supporter l'attente, que reste-t-il de l'homme que j'étais avant,qu'est-ce qui a changé ?« Ma rhapsodie a un début et pas de fin. Elle ressemble à ces films quis'achèvent à la surprise du spectateur, le laissant à son désarroi. A monénervement, pour ma part, contre ces scénariste ou réalisateur qui recourent àl'écran noir, faute de savoir comment finir leur histoire. Ils la laissent flottante,à l'imagination de chacun. Ils vous abandonnent à l'incertain. Ils ne savent pasla suite. Mes toubibs non plus. Et moi non plus. »
Il comprit très vite qua ça allait mal tourner. Que le mariage de son fils allait lui coûter cher, très cher. Beaucoup trop cher pour ses revenus, pourtant confortables. Alors, pour na pas déchoir, il dut inventer quelques entourloupes - trois précisément- , manière de financer château, champagne et autres ruineuses excentricités. Rien d'illégal dans ces escroqueries. Rien de moral non plus. Et sa vie en fut changée.
L'histoire d'un protestant après la révocation de l'Edit de Nantes en 1685. Raconte son exil au Pays-Bas, son combat auprès de Guillaume d'Orange, et en Irlande contre les Stuart. Un document riche en anecdotes historiques sur l'époque du règne de Louis XIV.
Se fondant sur des faits et des témoignages, l'auteur établit un parallèle entre le régime sud-africain avant la libération de N. Mandela et celui d'Israël. Il voit en effet dans la judaïsation de Jérusalem, dans le blocus de Gaza, dans l'exclusion des bédouins, dans la discrimination des Arabes israéliens, dans le pillage des terres et la colonisation, les signes d'un régime d'apartheid.