Je m'appelle Sandji, et cette année, je suis dans la classe de M. Nelain. C'est lui, notre maître, qui nous a d'abord parlé de Franky. Il a dit qu'il allait passer quelques semaines dans notre classe. Le jour de son arrivée, Franky nous attendait dans la salle de classe et pas dans la cour de récréation, car il était allongé sur un lit à roulettes. Il a dit : " Bonjour tout le monde ! "
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Je m'appelle Sandji, et cette année, je suis dans la classe de M. Nelain. C'est lui, notre maître, qui nous a d'abord parlé de Franky. Il a dit qu'il allait passer quelques semaines dans notre classe. Le jour de son arrivée, Franky nous attendait dans la salle de classe et pas dans la cour de récréation, car il était allongé sur un lit à roulettes. Il a dit : " Bonjour tout le monde ! "
Sandji, la narratrice, aime les dhal curry et les moules-frites mais déteste la guerre. Dans sa classe, il y a Franky, un Québecois qui vient passer trois semaines en France. Franky a une particularité : il est atteint d'une maladie rare qui le contraint à rester couché dans un lit d'hôpital, même en classe. Tous les élèves décident de l'accueillir.
Sandji, la narratrice, aime les dhal curry et les moules-frites mais déteste la guerre. Dans sa classe, il y a Franky, un Québecois qui vient passer trois semaines en France. Franky a une particularité : il est atteint d'une maladie rare qui le contraint à rester couché dans un lit d'hôpital, même en classe. Tous les élèves décident de l'accueillir.
Gloria et ses camarades accueillent une nouvelle élève dans la classe de madame Colibri : Mona. Dans le « coin parole », Mona explique qu'elle est en famille d'accueil parce que son père est mort et que sa mère n'est « plus capable » de s'occuper d'elle, même si elle l'aime très fort. L'occasion pour la maîtresse de se confier également, en expliquant aux élèves son choix de ne pas avoir d'enfant.
Gloria et ses camarades accueillent une nouvelle élève dans la classe de madame Colibri : Mona. Dans le « coin parole », Mona explique qu'elle est en famille d'accueil parce que son père est mort et que sa mère n'est « plus capable » de s'occuper d'elle, même si elle l'aime très fort. L'occasion pour la maîtresse de se confier également, en expliquant aux élèves son choix de ne pas avoir d'enfant.
Paola aimerait devenir l'amie de Lou. Mais le garçon est sauvage et il ne souhaite pas se laisser apprivoiser. Et puis, il y a ces loups qui, dit-on, rôdent dans la région, hurlent au clair de lune et effraient les villageois. Pour les 9-10 ans.
Un enfant vit seul avec son grand-père dans une maison entourée d'arbres et de champs. C'est l'hiver et tout n'est que désolation, pourtant le vieil homme reste serein. Un album pour évoquer la solitude, la fin qui menace.
L'hiver a tout blanchi, le grand-père et l'enfant attendent le printemps. Mais celui-ci n'arrive pas. Le grand-père murmure des mots d'espoir qui rassurent son petit-fils. L'enfant a peur et se met à envisager le pire. Mais le pommier refleurit enfin.
Des textes qui jouent sur les mots et les sonorités, illustrés de papiers découpés et collés, présentent les goûts et les dégoûts de l'enfant : d'un côté, l'odeur de maman, les baisers dans le cou, la glace ou la mousse du bain ; de l'autre, le caca, la solitude, la colère et les choux de Bruxelles.
Radhija voudrait savoir : et si les rêves des autres rejoignaient son rêve à elle ? Radhija a beaucoup de questions sur les rêves, mais personne, ni sa maman, ni son papa, ni son miroir, ni dieu, ni le président ne savent lui répondre. Et si tout ça n'était qu'un rêve ?